Arrivée chez elle, elle se mit au travail.
Le premier manuscrit était écrit par un homme, on sentait dans son histoire la volonté de domination qui réignait dans les relations qu'il décrivait :
"C'est alors que je l'ai plaquée sur la table. Penchée en avant, elle était à ma mercie. J'ai alors remonté sa jupe, et entré mon sexe jusqu'à la garde dans sa fente humide. Je lui ai pris les cheveux pour la faire cambrer, pendant qu'elle jouissait sous mes coups de boutoir. Son jus ne tarda pas à être abondant, et je senti venir son orgasme. Ne pouvant accepter qu'elle jouisse avant moi, je me retirai et la mis à genou devant moi. Elle prit alors ma queue dans sa bouche et bientôt j'y lachais par secousse des jets de sperme."
En lisant ce premier récit, elle se sentie envahie d'un sentiment étrange, comme si ce texte avait été écrit tout spécialement à son attention.
C'est vrai qu'elle aimait les rapports un peu brutaux, se faire dominer par un homme... Elle éprouvait un fort sentiment d'exitation à la lecture de ce premier manuscrit. Mais voulant bien faire son travail, elle écrivit quelques annotation en marge, et poursuivit par la lecture du second manuscrit.
Celui-ci retraçais la vie d'une jeune prostituée, nouvelle dans le milieu, confrontée à des expériences douloureuses :
"Ce client là, je ne l'avais pas vraiment voulu. La macasse, elle me l'avait refilé parce que les autres étaient toutes occupées. Il avait une tête de pervers : la cinquantaine, bedonnant, le crâne chauve. Tout ce qui peut me répugner chez un homme. Mais en même temps je n'ai pas vraiment eu le choix.
Je l'ai emmené dans la chambre, me forcant à dandiner du cul dans les escaliers. Une fois entrés, il s'est collé à moi et a commencé à me tripoter les nichons. Puis il m'a ordonné de me coucher sur le ventre. Je l'ai entendu se désaper derrière moi. J'ai voulu le regarder mais il était déjà sur moi et me plaquait la tête sur le lit. J'ai alors senti sa bite qui durcissait le long de ma jambe. Elle semblait de belle taille pour un homme de cet âge. C'est alors que je me suis dit qu'après tout autant jouer le jeu et essayer de prendre mon pied, au moins je n'aurai pas perdu mon temps. Après quelques caresses sur les fesses, il s'est couché sur moi et m'a pénétrée presque tendrement. Après quelques va et viens, il a commencé a émettre des grognement de satisfaction. Puis il s'est retiré. Pensant qu'il avait fini, je tente de me retourner, mais il m'a a nouveau plaquée le ventre sur le lit et m'a tiré vers le bord de façon à ce que mes jambes pendent dans le vide. Il s'est calé entre mes deux jambes et a approché sa queue de mon intimité. Mais d'un coup, j'ai découvert ses réelles intentions. Il a inseré un doigt dans mon cul. Me jugeant surement trop sèche, il y a ajouté un peu de salive. Puis il a tenté de me pénétrer. Cette fois-ci toute trace de tendresse avait disparu. La douleur ne se fit pas attendre, et sa queue, à peine rentrée de quelques centimères m'arracha un cri. Je n'avais jamais été sodomisée avant. Malgré les signaux que je lui envoyait pour qu'il comprenne que j'avais mal, il ne semblait pas vouloir s'arrêter et continuait de faire des va et viens de plus en plus profond. La sensation était étrange, la douleur restait présente, mais quelque chose en moi semblait changer. Je réussi alors a glisser une main sous moi pour me toucher. En quelques minutes, j'eu un orgasme flugurant. Cette jouissance fit comme un appel pour mon client et bientôt il se retira pour éjaculer sur mon cul. Il me demanda si c'était ma première sodomie. Je lui répondit que oui.
Ce client, je l'ai gardé encore plusieurs années, à chaque fois le même scénario, mais au moins, je me préparais à l'avance pour l'accueillir confortablement. Il semblait apprécier que je soit ainsi ouverte quand il arrivait, et me fit même plusieurs cadeau d'une certaine valeur..."
Cette deuxième lecture lui réchauffa à nouveau le sang. Elle décida qu'il était temps pour elle de faire une pause. Elle sorti prendre un café, en emmenant tout de même le troisième manuscrit.
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