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Nouvelles érotiques

Lundi 19 décembre 1 19 /12 /Déc 00:42

Je m'étonnais un peu de cette audace nouvelle dont je faisais preuve depuis ces derniers temps... Enchainer deux rendez-vous successif n'était-il pas risqué? J'effaçais très vite cette question de mon esprit, me disant qu'après tout j' n'avais rien à perdre et tout à construire.

 

Cet homme que j'allais rencontrer venait lui aussi tout juste d'arriver dans la région, et ne connaissant ni l'un ni l'autre la ville, nous avions convenu d'un des seuls points de rendez-vous que nous étions capables d'identifier tous les deux : une grande place du centre ville.

 

Il portait une chemise violette, et moi j'avais choisi de porter quelque chose de coloré, un haut vert au décolté prononcé et un pantalon en lin très léger.

 

Il m'attendait appuyé contre une barrière de la place, et se redressa en me voyant approcher, j'en conclu que le beau trentenaire qui se tenait devant moi était mon rendez-vous.

 

Chatain, les cheveux courts, de beaux yeux verts (que je ne remarquais que plus tard), sportif...

 

Nous nous sommes mis en quète d'un endroit pour boire un verre en terrasse. Le hasard des choses à fait que le seul bar que nous avons trouvé ce soir là, fut le même que celui où j'étais allée la veille avec cet autre homme, mais je me gardais bien d'en faire la remarque.

 

La conversation s'est alors engagée sur nos activités respectives, et nous nous sommes très vite trouvés des points communs. Je dois dire que je passais un excellent moment, je me sentais écoutée, et cet homme avait vraiment de l'esprit. Nous avons pris un verre, puis deux, et nous avions beau être encore en été, il faisait frais en terrasse, alors nous sommes rentrés pour continuer notre conversation.Puis, à nouveau, le bar a fermé. Notre conversation avait sacrement duré...

 

Il m'a raccompagnée jusqu'à ma voiture. Je me tenais debout, portière ouverte, quand l'envie passagère qu'il m'embrasse me pris soudain, et pourtant, il n'en fut rien. Il s'apprétait à partir quand je lui demandais quand est ce que nous pourrions nous revoir. Demain.

 

Très contente, je rentrais chez moi le sourire aux lèvres.

 

Le lendemain, nous avons discuté par message interposés toute la journée, cherchant ce que nous pourrions faire lors de ce deuxième rendez-vous. Balade, ciné? Non, finalement, il m'a proposé de venir chez lui. Ou du moins chez ses parents, car c'est là qu'il vivait le temps de trouver un logement. Il y avait chez eux une piscine, et ils étaient partis en vacances. J'acceptais donc avec tout de même quelques réticences à me rendre chez un inconnu, d'autant plus qu'il venait me chercher et devait me ramener.

 

Une fois arrivé chez lui, nous sommes très vite allés dans la piscine, et malgré que l'eau fut à une température plutôt chaude, je tremblais.

 

J'ai ce petit "défaut" de trembler dès que je suis avec un homme. Le stress? L'émotion? L'excitation? Je ne sais pas.

 

Mais j'avais tout de même un peu froid, alors nous nous sommes rapprochés. Les caresses sous l'eau étaient une première pour moi. Je me suis vite retrouvée nue dans l'eau.

 

Mais la fraicheur est vite tombée, et je tremblais de plus en plus, alors il m'a proposé d'aller prendre une douche bien chaude. Ce que j'acceptais avec joie.

 

Etonnament, quand je suis sortie de l'eau, je fut pudique, alors que d'habitude, me promener nue ne me pose aucun problème, je me suis très vite enroulée dans la serviette qu'il me tendais.

 

Nous sommes alors allés dans la salle de bain qui disposait d'une très grande douche. Le froid en moins je me sentais tout de suite plus à l'aise. Mes caresses se sont faites alors plus intense et je ne tardais pas à succomber à l'envie de le sucer. Je me suis donc mise à genoux pour le prendre dans ma bouche, les gouttes d'eau chaudes de la douche tombant sur mon visage. Sans me forcer, je lui laissais faire quelques vas et viens dans ma bouche, alors qu'il posait simplement sa main sur ma tête.

 

Puis, alors que je le sentais proche de jouir, il me fit remonter, et me caressa doucement avec ses doigts puissants. J'étais très excitée. Il me fit un superbe cuni sous la douche.

 

Puis nous nous sommes séchés pour rejoindre son lit.

 

Il me glissa à l'oreille qu'il n'avait pas de capote. Or, comme il est hors de question pour moi de faire l'amour sans capote avec un inconnu, j'avais prévu le coup et en avait glissé deux dans mon sac à main. Ouf... Nous allions pouvoir continuer ce que nous avions commencé.

 

Nous avons échangé baisers et caresses pendant encore de longues minutes. Et toute pressée que j'étais j'ai très vite voulu plus. Mais lui, avec une aplomb qui me fit fondre de l'intérieur m'incitat à prendre d'avantage le temps. Après tout, nous n'étions pas pressés.

 

Quelques instants plus tard cependant, il finit par me pénéter. Et je dois avouer que l'état d'exitation dans lequel je me trouvais aidant, je pris énormement mon pied. Alors qu'il me prenait en levrette, il fit claquer avec fermeté sa main sur mes fesses, ce qui ne fit qu'accentuer mon état d'excitation.

 

Je me retrouvais bientôt au dessus de lui, faisant bouger mon bassin, tantôt en cercle, tantôt avec rapidité, tantôt par accoups. Nous nous regardions dans les yeux, sans détours. Il caressait mes seins avec force et délicatesse.


Puis, je sentis son corps se tendre, sa tête basculer en arrière, et son sexe être agité de soubressauts en moi.

 

Je me couchais alors sur lui, la tête sur son torse. Je remarquais alors cette énorme cicatrice qui barrait son épaule gauche, et la caressa du bout du doigt.


Au bout de quelques minutes de silence, nous avons discutés, puis il me dit qu'il préférait me ramener avant de s'endormir. J'en fut vexée, car je serai bien resté passer la nuit avec lui. Mais, après tout n'avais-je pas établi les mêmes règles la veille pour un autre?

 

Cependant, nous n'en sommes pas restés là...

Par Eleuthéria - Publié dans : Nouvelles érotiques - Communauté : Réalités
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Vendredi 25 novembre 5 25 /11 /Nov 10:11

Rien d'original dans cette rencontre, les moyens modernes qui étaient à ma disposition m'ont permis de rencontrer cet homme une semaine après mon emménagement.

 

Nous nous sommes rencontré dans un bar. Brun, grand, sportif, un t-shirt noir qui mettait en valeur ses épaules carrée, il était plutôt agréable à regarder... Nous avons discuté de tout et de rien pendant plus de deux heures. Puis le patron du bar nous a fait comprendre qu'il fermait. Nous nous sommes alors retrouvés sur le trottoir, par une chaude nuit de fin d'été.

 

Nous avons rejoint ma voiture, puis un blanc s'est installé dans notre conversation. "Que fait-on?" Avec mon sourire et mon petit regard en coin, je lui ai soufflé que j'avais bien une petite idée de ce que nous pourrions faire... Je me surpris moi même de cette assurance soudaine dont je faisais preuve, moi qui d'habitude doutais de mes charmes, ce soir, j'avais très envie d'un peu d'affection...

 

"Je peux t'embrasser?" Le fait qu'il me pose la question juste avant de joindre le geste à la parole a provoqué au creux de mon ventre un tumulte d'exitation. Il m'a alors plaquée le long de la voiture, et nous nous sommes alors embrassés pendant un instant, un groupe de jeunes éméchés passant non loin de là.

 

Me sentant très exitée, je lui ai proposé d'aller chez moi. Nous nous y sommes retrouvés dix minutes plus tard, et une fois la porte de mon appartement passé, il n'a plus été question de discuter. Très vite, nous nous sommes retrouvés nus. Je n'avais pas fait l'amour depuis quelques temps, et ce fut pour moi un moment très agréable.

 

J'ai préféré qu'il ne reste pas passer la nuit. Je tenais à ce que cela ne reste qu'une aventure d'un soir. Nous sommes restés en bon terme depuis...

 

Le lendemain de cette sympathique soirée, je n'avais pas encore repris mon activité, alors je flanais à nouveau sur internet. Et au terme d'une conversation très courte avec un homme plus âgé que moi d'une dizaine d'année, nous avons convenus d'un rendez-vous le soir même...

 

Par Eleuthéria - Publié dans : Nouvelles érotiques - Communauté : Réalités
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Lundi 14 novembre 1 14 /11 /Nov 00:30

Deux mois s'étaient écoulés depuis notre séparation, et désormais, je ne regrettais plus rien. Je n'avais plus aucun sentiments, et la sexualité que nous partagions me rebuttait, alors j'avais décidé de reprendre ma liberté et de prendre mon envol.

 

Cela n'avait pas trop tardé. Quelques semaines plus tard je fis la connaissance de ce jeune homme très romantique. Alors que je m'étais promis de ne pas tomber dans les clichés et dans l'amour niaiseux, je me suis dit pourquoi pas. Après tout, j'avais envie de changement. Quelle ne fut pas mon erreur. Moi qui avait envie de fessée en levrette et d'un coup vite fait contre un arbre, j'ai eu droit à un je t'aime en moins d'une semaine. Ma frustration allais grandissante, et elle atteint son paroxisme quand je su que le "singe était puceau" comme dirait mon très cher Brassens, et je fis comme la féminine engeance de la chanson, j'ai fais feu des deux fuseaux. Et non, désolé je n'ai pas eu le courage de baptiser la sexualité de ce jeune homme avec mes envies de fessées et de me faire dominer. Non, non, et non, je ne voulais pas lui servir de brouillon.

Trop exigeante la demoiselle? Non, je sais simplement comment trouver mon plaisir.

 

Et mon plaisir, j'ai pu le retrouver un mois plus tard en retrouvant un ami... Qui, a force que nous parlions ensemble de sexualité, connaissait bien mes goûts, et les partageait. j'ai donc passé une agréable après midi en sa compagnie, comblant enfin le vide que je ressentais au creux de mes jambes.

 

Mais la fin de l'été approchant, il était temps de reprendre mes activités. Et comme une coincidence, il se trouve que j'ai emménagé dans une nouvelle ville. Et qui dit nouvelle ville, dit nouvelles proies.

 

Je ne tardais pas à rencontrer un beau jeune homme, fort sympathique, mais mes intentions furent claires dès notre première rencontre...

Par Eleuthéria - Publié dans : Nouvelles érotiques - Communauté : Réalités
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Vendredi 6 mai 5 06 /05 /Mai 21:14

enh27rkz.jpg Il y a des choses que je ne devrais pas raconter : ces choses que je ne devrais pas faire.

Nous n'avions rien prémédité, mais depuis si longtemps nous le désirions.

Tout cela s'est soldé par un orgasme fulgurant, m'empêchant pendant quelques instants de garder le contrôle de mon corps.

Et ces images qui tournent dans ma tête, de nos corps nus, partageant l'interdit.

 

Mais commençons par le début.

 

 

 

 

 


 

Ils fêtaient au bar la fin d'un projet entamé depuis quelques mois. Il avait pris un café et elle un diabolo menthe. Les regards échangés paraissaient soulagés de l'aboutissement de ce projet. Et puis très vite, la conversation suivit un chemin qui leur était familier. Des phrases échangées du tac o tac, des hypothèses formulées à haute voix longtemps pensées.

Et puis les verres étaient vides. Et c'est comme si une force les empêchaient de se dire à demain à cet instant. Il l'invita à venir regarder un film chez lui.

Il était l'heure du diner lorsque le film se termina, et surement l'heure aussi de rentrer chez elle. Mais lorsqu'elle se leva, tout près de lui, il l'éfleura d'une caresse. Puis bientôt ses mains touchèrent ses seins, soulevant sa jupe, se glissant jusque sous sa culotte. Mais cette fois-ci, sa résistance fut brève. Bientôt, elle aussi déboutonna son pantalon, pour se glisser sous son caleçon, alors qu'il lui mordillait le cou. Elle pris en main ce sexe qu'elle avait parfois éfleuré, déjà durcit d'envie.

Ils retombèrent sur le lit, et se pressaient l'un contre l'autre, comme si la barrière de leurs vêtements les empéchaient de croire qu'ils faisaient quelque chose de mal. Quelques mots furent échangés sur l'interdit qu'ils transgressaient : l'infidélité. Car elle était toujours avec cet homme, et pourtant celui qu'elle avait en face d'elle n'était pas celui pour lequel elle aurait du exprimer une telle attirance sexuelle.

Leurs vêtements glissèrent de leur corps, et ils se retrouvèrent finalement nus. Elle le prit dans sa bouche avec envie, comme cela ne lui était pas arrivé depuis longtemps. Puis ils se relevèrent. Il introduisit un doigt dans sa chatte humide. Et elle ne sut comment, mais bientôt ses mains furent engourdies, puis tout son corps. Elle perdit un instant le contrôle, tant elle fut transpercé par l'intensité de cette sensation inconnu. Il lui apporta même une bouteille froide pour se rafraichir.

Une fois remise de ses émotions, elle le reprit en bouche, mais elle ne voulais pas le faire jouir de cette façon; elle lui demanda un préservatif. Il refusa d'abord, comme si la prénétrer signifiait bel et bien qu'ils trahissaient tous les deux cet ami. Debouts, nus, l'un à chaque bout de la pièce, elle lui lança un regard sans équivoque. Elle le suça à nouveau. Et décidement non, elle ne voulais pas le faire jouir de cette façon. Ils s'allongèrent un instant, elle se mis à califourchon sur lui. Puis il céda, et lui indiqua où se trouvaient les préservatifs. Quelques instants plus tard, elle introduisit son sexe en elle, et commença à faire des va et vient. Très exitée, elle resenti alors des sensations de plaisir intense. 

Il repris alors le dessus, la pris en levrette et lui mis de bonnes fessées du plat de la main. Elle ne pouvais retenir des gémissement de plaisir, qu'il lui demanda de taire, car la fenêtre était ouverte dans la pièce d'à côté. Puis ils prirent la position du lotus, resserant leur étreinte. Ils se regardaient droit dans les yeux, partageant ainsi le  plaisir qui se lisait sur leur visage. Elle fut bouleversée par l'intensité de ce regard bleu qu'il posait sur elle, et ce plaisir qu'il lui apportait au creu de son ventre. Elle le senti se tendre, se contracter, la serrer plus fort puis jouir par soubresaut.

Ils se séparèrent. Reprirent un instant leurs esprits.

Bientôt, ils furent rhabillés, et sentant visiblement qu'il ne voulais pas qu'elle reste, elle parti, en lui disant à demain, comme si rien ne venait de se produire.

Dans la rue, alors qu'elle rentrai chez elle, elle senti son sexe encore humide, appelant à plus de plaisir. Mais elle le savait. Elle savait qu'il y avait peu de chance que cela se reproduise. Elle avait vu son regard coupable d'avoir trahi un ami lorsqu'il avait enlevé la capote.

 

Elle décida de ne pas rentrer tout de suite chez elle, et longea la petite rivière qui traversait la ville, sa tête assaillie de milles questions. Que donnerai-t-elle pour revivre un instant pareil? Allait-il vouloir, comme elle, goûter à nouveau à ce plaisir? 

Par Eleuthéria - Publié dans : Nouvelles érotiques - Communauté : Arts érotiques
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Mardi 22 février 2 22 /02 /Fév 23:16

http://2.bp.blogspot.com/_1HllL9hC8-E/TQyTNUZGczI/AAAAAAAAAgU/aRdr8J0t9zI/s640/nu-noir-et-blanc.jpgCe client, je l'ai gardé encore plusieurs années, à chaque fois le même scénario, mais au moins, je me préparais à l'avance pour l'accueillir confortablement. Il semblait apprécier que je soit ainsi ouverte quand il arrivait, et me fit même plusieurs cadeau d'une certaine valeur..."

 

Cette deuxième lecture lui réchauffa à nouveau le sang. Elle décida qu'il était temps pour elle de faire une pause. Elle sorti prendre un café, en emmenant tout de même le troisième manuscrit.

 

Elle se posa à la terrasse d'un petit café au coin d'un carrefour. Elle posa son sac sur la chaise d'à côté,passa commande aurpès du garçon, et entama sa dernière lecture.

 

Ce troisième récit racontait les aventures d'un jeune explorateur, perdu dans la jungle, qui avait découvert un peuple où ne vivait que des femmes -des amazones en quelque sorte.

 

"Elles n'étaient que peu vêtues, certaines ne portaient rien, mais toutes étaient parées de peintures savament exécutée, mélangeant plusieurs couleurs. On pouvait aisement imaginer le temps qu'elles prenaient à se peindre mutuellement le corps.

Le village était circulaire, centré autour d'une hutte où on me fit entrer. Là se tenait une indigène d'une rare beauté : son corps était peint de bien plus de couleur que celui des autres femmes, et elle était vétue d'un pagne en tissu écru. Son corps était fuselé, ses seins fermes, rond et pointaient de façon arrogante. Elle était debout, et trois femmes s'activaient autour d'elle pour achever les peintures de ses jambes et de son dos.

Elle s'est adressée à moi dans un langage qui m'était inconnu. Devant mon incompréhension, elle s'avança vers moi, et me dit dans un espagnol presque parfait:

- tu t'es perdu jeune étranger? Ne sais tu pas les légendes qui entoure cette partie de la forêt? On dit qu'elle est hanté par les âmes de toutes les jeunes vierges qui furent sacrifiées par les Incas. Et vois tu que ce n'est pas une légende, nous sommes bel et bien vivantes. Nous ne te voulons aucun mal, car tu es un homme et comme tu le vois les hommes ont été bânis de notre tribu. En revanche, il est nécessaire pour nous de trouver des hommes, pour nous satisfaire. Ainsi, tu restera parmis nous... Un petit moment.

 

Puis on m'emmena dans une autre hutte, où je fut installé confortablement. Mais on me fit comprendre que je ne pouvais pas sortir. A la tombé de la nuit, un grand feu fut allumé, et on m'emmena dehors. Les femmes se mirent alors a danser sur des rythmes tribaux. Puis, cette femme qui m'avait parlé, leur chef, sorti de sa hutte, parée de bijoux en os, mais aussi en or, et entamma une danse des plus sensuelles. On me fit manger des plantes à la saveur étrange qui embrouillèrent mon esprit, mais qui me donnèrent très chaud. A voir toutes ces fesses et ces seins s'agiter autour de moi, je ne pu retenir mon erection. Alors leur chef s'approcha de moi, deux autres femmes me déshabillèrent et me firent allonger sur une natte et bientôt, leur chef se retrouva à qualifourchon sur moi, toutes les femmes continuaient de danser autour de nous. Elle faisait des mouvements tantôt lent et lascifs, tantôt rapides et saccadés. Je ne sais combien de temps elle me chevaucha, mais mon plaisir fut le plus voluptueux que je connu jusqu'alors, et je ne pu retenir plus longtemps mon éjaculation. De grand cri de joie furent poussés à la vision de ma jouissance. Leur chef se retira et rentra dans sa hutte. Exténué on me raccompagna dans la mienne."

 

Bientôt, la jeune femme senti un regard sur elle. Elle aperçut un homme qui l'observait du bâtiment d'en face mais ne put discerner son visage. Elle replongea alors fascinée, dans sa lecture. Mais la sensation que quelqu'un l'épiait revint quelques minutes plus tard. Elle regarda autour d'elle et croisa le regard langoureux d'un homme : son nouveau patron, assis à une table du café voisin.

 

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Par Eleuthéria - Publié dans : Nouvelles érotiques - Communauté : Récits Erotiques X
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