Eleuthéria ou le journal (trop) intime
Il était tard. Ou plutôt très tôt le matin. Ils revenaient d'une fête. Elle conduisait tout en discutant. Depuis la dernière fois peu de choses avaient changé. Ils n'avaient pas perdu cette complicité, et cela la rendait plutôt joyeuse, taquine même.
Mais dans la voiture, ce ne fut pas elle qui fit le premier pas. Même s'il avait bu deux verres, il n'en était pas moins conscient de ses actes, et commença à lui caresser les seins par dessus ses vêtements. D'abord en rigolant, pour se rappeler du moment qu'ils avaient volé il y a quelques temps. Peut être que lui aussi avait été troublé, plus profondement qu'elle ne l'aurait pensé.
Il dirigea ses mains vers son entrejambe. Elle songea qu'elle n'aurait pas du se changer avant d'aller en soirée et garder cette jolie robe légère au lieu de mettre ce pantalon moulant. Il la caressa doucement.
El les choses prirent soudain un tournant plus sérieux quand il ouvrit son décolleté pour mordiller doucement son téton. Elle tentait de garder sa concentration sur sa conduite, mais malgré tout, elle sentait le désir monter et la faire s'enflammer.
Elle tenu encore quelques minutes sous ses caresses, puis n'en pouvant plus, elle s'arrêta sur le bas côté de la petite route de campagne déserte. Alors elle se jeta presque sur lui, l'embrassant fougueusement. Elle defit sa ceinture et son pantalon, sa main cherchant avidement son sexe déjà tendu d'exitation. Elle se pencha alors vers son sexe et le pris goulument en bouche. Elle caressa son gland du bout de sa langue puis faisait de long va et vient tout en lui caressant les couilles. Elle le suca ainsi pendant plusieurs minutes, et il lui sussurait de continuer. Puis, malgré l'inconfort de la voiture, elle s'installa à qualifourchon sur lui. Ils purent ainsi se frotter l'un contre l'autre, plein d'un désir sauvage.
Il ouvrit la portière et l'entraina dehors pour la plaquer sur le ventre contre la voiture. Lui baissant en hate son pantalon moulant, il se mit à la doigter avec une force qui succitait en elle une vive émotion. Il prit ses cheveux de l'autre main et les tira en arrière pour la faire cambrer et ainsi frotter son sexe en érection contre ses fesses offertes.
Ils s'installèrent ensuite sur la banquette arrière de la petite voiture, et bientôt ils se retrouvèrent totalement nus. Elle était aux anges de retrouver ce corps musclé, qu'elle aimait tant observer toute la journée. Cette carrure taillée en V, ces bras puissant, et ce regard bleu intense derrière ses lunettes... Qu'elle lui avait déjà fait oter depuis un moment.
Elle se remit à le sucer avec tant d'avidité qu'il lui demanda de ralentir. Il la poussa sur la banquette pour lécher sa chatte gonflée de désir.
De temps en temps, une voiture passait sur la route déserte, les incitant à se cacher un instant, mais ne faisant que monter la pression.
Elle ne savait pas pourquoi elle avait glissé une capote dans son sac à main avant de partir, sans doute son inconscient savait qu'il allait se passer quelquechose. Elle chercha alors à taton son sac. Et rapidement il pu la prendre en levrette. Ils jouirent tout deux rapidement, surement parce qu'ils étaient trop exités. Ils se rhabillèrent en hate, pensant une fois de plus à l'ami de la jeune femme qu'ils avaient à nouveau trahit.
La fin du trajet se fit sur une conversation teintée d'érotisme et de séduction.
Et bien sûr, comme la dernière fois, ils firent comme s'ils ne s'était rien passé le lendemain.