Eleuthéria ou le journal (trop) intime

Deux mois s'étaient écoulés depuis notre séparation, et désormais, je ne regrettais plus rien. Je n'avais plus aucun sentiments, et la sexualité que nous partagions me rebuttait, alors j'avais décidé de reprendre ma liberté et de prendre mon envol.

 

Cela n'avait pas trop tardé. Quelques semaines plus tard je fis la connaissance de ce jeune homme très romantique. Alors que je m'étais promis de ne pas tomber dans les clichés et dans l'amour niaiseux, je me suis dit pourquoi pas. Après tout, j'avais envie de changement. Quelle ne fut pas mon erreur. Moi qui avait envie de fessée en levrette et d'un coup vite fait contre un arbre, j'ai eu droit à un je t'aime en moins d'une semaine. Ma frustration allais grandissante, et elle atteint son paroxisme quand je su que le "singe était puceau" comme dirait mon très cher Brassens, et je fis comme la féminine engeance de la chanson, j'ai fais feu des deux fuseaux. Et non, désolé je n'ai pas eu le courage de baptiser la sexualité de ce jeune homme avec mes envies de fessées et de me faire dominer. Non, non, et non, je ne voulais pas lui servir de brouillon.

Trop exigeante la demoiselle? Non, je sais simplement comment trouver mon plaisir.

 

Et mon plaisir, j'ai pu le retrouver un mois plus tard en retrouvant un ami... Qui, a force que nous parlions ensemble de sexualité, connaissait bien mes goûts, et les partageait. j'ai donc passé une agréable après midi en sa compagnie, comblant enfin le vide que je ressentais au creux de mes jambes.

 

Mais la fin de l'été approchant, il était temps de reprendre mes activités. Et comme une coincidence, il se trouve que j'ai emménagé dans une nouvelle ville. Et qui dit nouvelle ville, dit nouvelles proies.

 

Je ne tardais pas à rencontrer un beau jeune homme, fort sympathique, mais mes intentions furent claires dès notre première rencontre...

Lun 14 nov 2011 1 commentaire

Voila une surprise bien plaisante : ta réapparition.

Et une nouvelle réjouissante : ta vie sexuelle s'épanouit.

Or, j'ai le sentiment que, chez toi, l'écriture s'épanouit grâce au plaisir.

J'ai donc bon espoir d'avoir bientôt à nouveau le plaisir de te lire.

 

Jule - le 15/11/2011 à 00h20