Présentation

Dimanche 29 mai 7 29 /05 /Mai 18:13

J'ai envie de séduire. D'utiliser tout mon potentiel au service de mon plaisir.

Mais ce n'est pas pour autant me taper tout ce qui bouge et a une bite. Nan, je veux frémir, jouer, chasser, effleurer, et surtout prendre tout le temps qu'il me faut. Être bestiale dans l'acte, sans pour autant être brouillon. Savoir me faire désirer.

 

Je bouillonne depuis quelques temps, sans doute car je me sens prisonnière de cette relation que l'adolescente que j'étais a tant désiré. Mais je me sens devenir une jeune femme aux appétits prononcés. Et pourtant le fait d'être prisonnière en est plus exitant.

 

J'ai envie de nouvelles expériences. Pourquoi pas une femme. Peut être y trouverai-je la douceur, que je ne cherche pas chez un homme. Non pas qu'ils ne soient pas capables d'en donner, mais j'aime leur force, leur puissance. Et la douceur les rends maladroits, parfois ridicules, alors qu'une femme sait ce genre de chose.

 

Et puis je me pose aussi une question. A partir de quand peut on dire qu'un ami est devenu un sex-friend?

 


Par Eleuthéria - Communauté : Arts érotiques
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Vendredi 6 mai 5 06 /05 /Mai 21:14

enh27rkz.jpg Il y a des choses que je ne devrais pas raconter : ces choses que je ne devrais pas faire.

Nous n'avions rien prémédité, mais depuis si longtemps nous le désirions.

Tout cela s'est soldé par un orgasme fulgurant, m'empêchant pendant quelques instants de garder le contrôle de mon corps.

Et ces images qui tournent dans ma tête, de nos corps nus, partageant l'interdit.

 

Mais commençons par le début.

 

 

 

 

 


 

Ils fêtaient au bar la fin d'un projet entamé depuis quelques mois. Il avait pris un café et elle un diabolo menthe. Les regards échangés paraissaient soulagés de l'aboutissement de ce projet. Et puis très vite, la conversation suivit un chemin qui leur était familier. Des phrases échangées du tac o tac, des hypothèses formulées à haute voix longtemps pensées.

Et puis les verres étaient vides. Et c'est comme si une force les empêchaient de se dire à demain à cet instant. Il l'invita à venir regarder un film chez lui.

Il était l'heure du diner lorsque le film se termina, et surement l'heure aussi de rentrer chez elle. Mais lorsqu'elle se leva, tout près de lui, il l'éfleura d'une caresse. Puis bientôt ses mains touchèrent ses seins, soulevant sa jupe, se glissant jusque sous sa culotte. Mais cette fois-ci, sa résistance fut brève. Bientôt, elle aussi déboutonna son pantalon, pour se glisser sous son caleçon, alors qu'il lui mordillait le cou. Elle pris en main ce sexe qu'elle avait parfois éfleuré, déjà durcit d'envie.

Ils retombèrent sur le lit, et se pressaient l'un contre l'autre, comme si la barrière de leurs vêtements les empéchaient de croire qu'ils faisaient quelque chose de mal. Quelques mots furent échangés sur l'interdit qu'ils transgressaient : l'infidélité. Car elle était toujours avec cet homme, et pourtant celui qu'elle avait en face d'elle n'était pas celui pour lequel elle aurait du exprimer une telle attirance sexuelle.

Leurs vêtements glissèrent de leur corps, et ils se retrouvèrent finalement nus. Elle le prit dans sa bouche avec envie, comme cela ne lui était pas arrivé depuis longtemps. Puis ils se relevèrent. Il introduisit un doigt dans sa chatte humide. Et elle ne sut comment, mais bientôt ses mains furent engourdies, puis tout son corps. Elle perdit un instant le contrôle, tant elle fut transpercé par l'intensité de cette sensation inconnu. Il lui apporta même une bouteille froide pour se rafraichir.

Une fois remise de ses émotions, elle le reprit en bouche, mais elle ne voulais pas le faire jouir de cette façon; elle lui demanda un préservatif. Il refusa d'abord, comme si la prénétrer signifiait bel et bien qu'ils trahissaient tous les deux cet ami. Debouts, nus, l'un à chaque bout de la pièce, elle lui lança un regard sans équivoque. Elle le suça à nouveau. Et décidement non, elle ne voulais pas le faire jouir de cette façon. Ils s'allongèrent un instant, elle se mis à califourchon sur lui. Puis il céda, et lui indiqua où se trouvaient les préservatifs. Quelques instants plus tard, elle introduisit son sexe en elle, et commença à faire des va et vient. Très exitée, elle resenti alors des sensations de plaisir intense. 

Il repris alors le dessus, la pris en levrette et lui mis de bonnes fessées du plat de la main. Elle ne pouvais retenir des gémissement de plaisir, qu'il lui demanda de taire, car la fenêtre était ouverte dans la pièce d'à côté. Puis ils prirent la position du lotus, resserant leur étreinte. Ils se regardaient droit dans les yeux, partageant ainsi le  plaisir qui se lisait sur leur visage. Elle fut bouleversée par l'intensité de ce regard bleu qu'il posait sur elle, et ce plaisir qu'il lui apportait au creu de son ventre. Elle le senti se tendre, se contracter, la serrer plus fort puis jouir par soubresaut.

Ils se séparèrent. Reprirent un instant leurs esprits.

Bientôt, ils furent rhabillés, et sentant visiblement qu'il ne voulais pas qu'elle reste, elle parti, en lui disant à demain, comme si rien ne venait de se produire.

Dans la rue, alors qu'elle rentrai chez elle, elle senti son sexe encore humide, appelant à plus de plaisir. Mais elle le savait. Elle savait qu'il y avait peu de chance que cela se reproduise. Elle avait vu son regard coupable d'avoir trahi un ami lorsqu'il avait enlevé la capote.

 

Elle décida de ne pas rentrer tout de suite chez elle, et longea la petite rivière qui traversait la ville, sa tête assaillie de milles questions. Que donnerai-t-elle pour revivre un instant pareil? Allait-il vouloir, comme elle, goûter à nouveau à ce plaisir? 

Par Eleuthéria - Publié dans : Nouvelles érotiques - Communauté : Arts érotiques
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Mardi 22 février 2 22 /02 /Fév 23:16

http://2.bp.blogspot.com/_1HllL9hC8-E/TQyTNUZGczI/AAAAAAAAAgU/aRdr8J0t9zI/s640/nu-noir-et-blanc.jpgCe client, je l'ai gardé encore plusieurs années, à chaque fois le même scénario, mais au moins, je me préparais à l'avance pour l'accueillir confortablement. Il semblait apprécier que je soit ainsi ouverte quand il arrivait, et me fit même plusieurs cadeau d'une certaine valeur..."

 

Cette deuxième lecture lui réchauffa à nouveau le sang. Elle décida qu'il était temps pour elle de faire une pause. Elle sorti prendre un café, en emmenant tout de même le troisième manuscrit.

 

Elle se posa à la terrasse d'un petit café au coin d'un carrefour. Elle posa son sac sur la chaise d'à côté,passa commande aurpès du garçon, et entama sa dernière lecture.

 

Ce troisième récit racontait les aventures d'un jeune explorateur, perdu dans la jungle, qui avait découvert un peuple où ne vivait que des femmes -des amazones en quelque sorte.

 

"Elles n'étaient que peu vêtues, certaines ne portaient rien, mais toutes étaient parées de peintures savament exécutée, mélangeant plusieurs couleurs. On pouvait aisement imaginer le temps qu'elles prenaient à se peindre mutuellement le corps.

Le village était circulaire, centré autour d'une hutte où on me fit entrer. Là se tenait une indigène d'une rare beauté : son corps était peint de bien plus de couleur que celui des autres femmes, et elle était vétue d'un pagne en tissu écru. Son corps était fuselé, ses seins fermes, rond et pointaient de façon arrogante. Elle était debout, et trois femmes s'activaient autour d'elle pour achever les peintures de ses jambes et de son dos.

Elle s'est adressée à moi dans un langage qui m'était inconnu. Devant mon incompréhension, elle s'avança vers moi, et me dit dans un espagnol presque parfait:

- tu t'es perdu jeune étranger? Ne sais tu pas les légendes qui entoure cette partie de la forêt? On dit qu'elle est hanté par les âmes de toutes les jeunes vierges qui furent sacrifiées par les Incas. Et vois tu que ce n'est pas une légende, nous sommes bel et bien vivantes. Nous ne te voulons aucun mal, car tu es un homme et comme tu le vois les hommes ont été bânis de notre tribu. En revanche, il est nécessaire pour nous de trouver des hommes, pour nous satisfaire. Ainsi, tu restera parmis nous... Un petit moment.

 

Puis on m'emmena dans une autre hutte, où je fut installé confortablement. Mais on me fit comprendre que je ne pouvais pas sortir. A la tombé de la nuit, un grand feu fut allumé, et on m'emmena dehors. Les femmes se mirent alors a danser sur des rythmes tribaux. Puis, cette femme qui m'avait parlé, leur chef, sorti de sa hutte, parée de bijoux en os, mais aussi en or, et entamma une danse des plus sensuelles. On me fit manger des plantes à la saveur étrange qui embrouillèrent mon esprit, mais qui me donnèrent très chaud. A voir toutes ces fesses et ces seins s'agiter autour de moi, je ne pu retenir mon erection. Alors leur chef s'approcha de moi, deux autres femmes me déshabillèrent et me firent allonger sur une natte et bientôt, leur chef se retrouva à qualifourchon sur moi, toutes les femmes continuaient de danser autour de nous. Elle faisait des mouvements tantôt lent et lascifs, tantôt rapides et saccadés. Je ne sais combien de temps elle me chevaucha, mais mon plaisir fut le plus voluptueux que je connu jusqu'alors, et je ne pu retenir plus longtemps mon éjaculation. De grand cri de joie furent poussés à la vision de ma jouissance. Leur chef se retira et rentra dans sa hutte. Exténué on me raccompagna dans la mienne."

 

Bientôt, la jeune femme senti un regard sur elle. Elle aperçut un homme qui l'observait du bâtiment d'en face mais ne put discerner son visage. Elle replongea alors fascinée, dans sa lecture. Mais la sensation que quelqu'un l'épiait revint quelques minutes plus tard. Elle regarda autour d'elle et croisa le regard langoureux d'un homme : son nouveau patron, assis à une table du café voisin.

 

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Mercredi 2 février 3 02 /02 /Fév 22:47

 

http://www.culture.gouv.fr/Wave/image/joconde/0145/m503501_d0229120-000_p.jpg

Arrivée chez elle, elle se mit au travail.

Le premier manuscrit était écrit par un homme, on sentait dans son histoire la volonté de domination qui réignait dans les relations qu'il décrivait :

 

"C'est alors que je l'ai plaquée sur la table. Penchée en avant, elle était à ma mercie. J'ai alors remonté sa jupe, et entré mon sexe jusqu'à la garde dans sa fente humide. Je lui ai pris les cheveux pour la faire cambrer, pendant qu'elle jouissait sous mes coups de boutoir. Son jus ne tarda pas à être abondant, et je senti venir son orgasme. Ne pouvant accepter qu'elle jouisse avant moi, je me retirai et la mis à genou devant moi. Elle prit alors ma queue dans sa  bouche et bientôt j'y lachais par secousse des jets de sperme."


 

En lisant ce premier récit, elle se sentie envahie d'un sentiment étrange, comme si ce texte avait été écrit tout spécialement à son attention.

C'est vrai qu'elle aimait les rapports un peu brutaux, se faire dominer par un homme... Elle éprouvait un fort sentiment d'exitation à la lecture de ce premier manuscrit. Mais voulant bien faire son travail, elle écrivit quelques annotation en marge, et poursuivit par la lecture du second manuscrit.

 

Celui-ci retraçais la vie d'une jeune prostituée, nouvelle dans le milieu, confrontée à des expériences douloureuses :

 

"Ce client là, je ne l'avais pas vraiment voulu. La macasse, elle me l'avait refilé parce que les autres étaient toutes occupées. Il avait une tête de pervers : la cinquantaine, bedonnant, le crâne chauve. Tout ce qui peut me répugner chez un homme. Mais en même temps je n'ai pas vraiment eu le choix.

Je l'ai emmené dans la chambre, me forcant à dandiner du cul dans les escaliers. Une fois entrés, il s'est collé à moi et a commencé à me tripoter les nichons. Puis il m'a ordonné de me coucher sur le ventre. Je l'ai entendu se désaper derrière moi. J'ai voulu le regarder mais il était déjà sur moi et me plaquait la tête sur le lit. J'ai alors senti sa bite qui durcissait le long  de ma jambe. Elle semblait de belle taille pour un homme de cet âge. C'est alors que je me suis dit qu'après tout autant jouer le jeu et essayer de prendre mon pied, au moins je n'aurai pas perdu mon temps. Après quelques caresses sur les fesses, il s'est couché sur moi et m'a pénétrée presque tendrement. Après quelques va et viens, il a commencé a émettre des grognement de satisfaction. Puis il s'est retiré. Pensant qu'il avait fini, je tente de me retourner, mais il m'a a nouveau plaquée le ventre sur le lit et m'a tiré vers le bord de façon à ce que mes jambes pendent dans le vide. Il s'est calé entre mes deux jambes et a approché sa queue de mon intimité. Mais d'un coup, j'ai découvert ses réelles intentions. Il a inseré un doigt dans mon cul. Me jugeant surement trop sèche, il y a ajouté un peu de salive. Puis il a tenté de me pénétrer. Cette fois-ci toute trace de tendresse avait disparu. La douleur ne se fit pas attendre, et sa queue, à peine rentrée de quelques centimères m'arracha un cri. Je n'avais jamais été sodomisée avant. Malgré les signaux que je lui envoyait pour qu'il comprenne que j'avais mal, il ne semblait pas vouloir s'arrêter et continuait de faire des va et viens de plus en plus profond. La sensation était étrange, la douleur restait présente, mais quelque chose en moi semblait changer. Je réussi alors a glisser une main sous moi pour me toucher. En quelques minutes, j'eu un orgasme flugurant. Cette jouissance fit comme un appel pour mon client et bientôt il se retira pour éjaculer sur mon cul. Il me demanda si c'était ma première sodomie. Je lui répondit que oui.

Ce client, je l'ai gardé encore plusieurs années, à chaque fois le même scénario, mais au moins, je me préparais à l'avance pour l'accueillir confortablement. Il semblait apprécier que je soit ainsi ouverte quand il arrivait, et me fit même plusieurs cadeau d'une certaine valeur..."

 

Cette deuxième lecture lui réchauffa à nouveau le sang. Elle décida qu'il était temps pour elle de faire une pause. Elle sorti prendre un café, en emmenant tout de même le troisième manuscrit.

 

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Mercredi 26 janvier 3 26 /01 /Jan 22:40

http://www.beaute-noire.net/peinture/blackwoman.jpg

Ce matin là, elle avait mis son chemisier blanc, presque transparent. Sa poitrine ronde et ferme lui laissait la liberté de ne pas porter de soutien gorge. Et si elle n'avais pas mis par dessus son chemisier blanc, un cache-coeur noir, on aurait pu voir pointer ses indescents tétons. En bas, elle portait un pantalon noir à pince, ce qui lui donnait une allure de femme d'affaire.

Elle se rendait à un entretien pour un poste dans une petite entreprise. C'était un ami qui lui avait donné le tuyau "tu sais, j'ai un ami patron qui cherche une assistante, tu dois pouvoir correspondre au profil. Si tu veux je lui en parle".

Après tout, elle était oisive depuis quelques temps, et vivait sur l'argent qu'elle avait obtenu d'un récent héritage. Elle avait alors accepté jugeant que cela ne lui ferai pas de mal de reprendre un train de vie normal. Elle avait fait pas mal d'excès ces derniers temps, sortait beaucoup, rencontré beaucoup d'hommes, mais elle s'était vite lassée de cette vie et aspirait à la routine.

 

Elle arriva devant un petit bâtiment, a la devanture propre. Une plaque indiquait "Editions Denisson". C'était bien l'adresse indiqué par son ami. Elle sonna. Par l'interphone, une voix féminine lui dit d'entrer.

 

Elle entra alors dans un hall bien éclairé par un lustre au plafond. Sur la gauche un escalier couvert d'une moquette rouge vif montait à l'étage. Sur la droite, un bureau, et cachée dernière, une vieille secrétaire, les cheveux blancs tirés en un chignon qu'on aurait dit perché sur le haut de son crâne. Elle lui indiqua de monter l'escalier et de prendre la première porte à droite.

 

Arrivée devant la porte, elle frappa doucement et entra. Derrière le bureau au centre de la pièce, se trouvait un homme, encore jeune, la trentaine. Il portait un costume bleu nuit. Il se tenait devant la fenêtre, les mains dans les poches, ce qui accentuait sa carrure d'homme sportif.

 

La décoration de la pièce était assez sobre. On pouvait y voir un tableau d'une femme aux lèvres rouge, le regard vague. Devant le bureau se trouvait deux élégants fauteuils de cuir marron, et sur le bureau, une statuette d'une femme nue.

 

L'homme lui indiqua de prendre place dans un des sièges. Il la questionna d'abord sur ses motivations à trouver un poste d'assistante, ses compétences, son expérience. Puis il lui demanda si elle savait quel type d'oeuvre publiait la maison d'éditions. Elle avait omis de demander ce détail à son ami et avoua qu'elle l'ignorait.

 

"Nous éditions de la littérature érotique. Cela vous choque-t-il?"

Après un moment de surprise, elle répondit que non.

 

"Très bien, dans ce cas, quand pouvez vous commencer?"

 

Elle ressorti avec du travail : trois manuscrit à lire en deux jours.

 

Arrivée chez elle, elle se mit au travail.

Le premier manuscrit était écrit par un homme, on sentait dans son histoire la volonté de domination qui réignait dans les relations qu'il décrivait :

 

"C'est alors que je l'ai plaquée sur la table. Penchée en avant, elle était à ma mercie. J'ai alors remonté sa jupe, et entré mon sexe jusqu'à la garde dans sa fente humide. Je lui ai pris les cheveux pour la faire cambrer, pendant qu'elle jouissait sous mes coups de boutoir. Son jus ne tarda pas à être abondant, et je senti venir son orgasme. Ne pouvant accepter qu'elle jouisse avant moi, je me retirai et la mis à genou devant moi. Elle prit alors ma queue dans sa  bouche et bientôt j'y lachais par secousse des jets de sperme."

 

 

[A suivre...]

 

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Par Eleuthéria - Publié dans : Nouvelles érotiques - Communauté : Récits Erotiques X
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